lundi 7 juin 2010

Poésie.


A vous de deviner ce qu' il y' a d'écrit.

Bienvenue !


Réintroduction des moutons dans les forêts de Haute Vienne pour permettre d'éradiquer les fougères et retrouver les landes naturelles dans les forêts.

Un jardin de rêve.


Eymoutiers.

Sculpture champêtre..


La forêt de la Haute Vienne s'exprime...

Art naturelle

Même la nature fait de l'art, il n'y a pas besoin des hommes...

La flore de la Haute Vienne

Lac de Vassivière.

Vue sur le village.


Eymoutiers

L'architecture de la Haute Vienne


Eymoutiers.

La vie est comme ça à Eymoutiers.


Le seul otoctone que nous avons croisé dans le village d'Eymoutiers, à croire que la vie est paisible en Haute Vienne

De quoi se rafraîchir


Eymoutiers

Fontaine naturelle.


Autour du lac de Vassivière.

Le lavoir de quenouille


Belle fin du chemin des Poètes.

Un panier fleuri


A la fin du chemin des Poètes.

Le tumulus.


Chemin des poètes.

Le chemin des Poètes

Le grand M.


Chemin des Poètes.

La naissance...


Chemin des Poètes.

Les mots doux...

Chemin des Poètes.

A la rencontre de la licorne.


Île de Vassivière.

La Licorne de Vassivière ("Licorne Eiffel")
Yona Friedman
2009

Marne en vrac non séchée, 324 m

Commande publique du Ministère de la culture et de la communication pour le Centre national des arts plastiques - Cnap (propriété du Cnap/Fnac) en 2009

Né en 1923 à Budapest en Hongrie, Yona Friedman vit et travaille à Paris en France.

Pour Vassivière, Yona Friedman a créé, dans le cadre de son exposition Etc. Balkis Island avec Jean-Baptiste Decavèle présentée du 5 juillet au 1er novembre 2009, La Licorne de Vassivière ("Licorne Eiffel"), une sculpture éphémère qui occupe l’espace entier devant le Centre international d’art et du paysage, tracée à terre avec une substance minérale, le carbonate, et visible dans sa totalité du sommet du phare de Aldo Rossi qui domine l’île. La silhouette du chien Balkis qui joue à distance de la Licorne a été réalisée en faisant pousser des graines de Sarrasin.

La Licorne de Vassivière ("Licorne Eiffel") représente une paisible licorne anthropomorphe, aux allures féminines qui semblent tenir dans la main droite le Centre d’art. La référence à la civilisation Incas est explicite tant son imaginaire est véhiculée à travers la figuration zoomorphe et anthropomorphe entourée par un labyrinthe de formes géométriques, comme on peut encore le voir dans le Sud du Pérou sur les hauts plateaux de Nazca.

ça gargouille...


Île de Vassivière.

Je n'ai pas trouvé la faucille...


Île de Vassivière.

Marteau sans maître
Jean-Luc Vilmouth
1985

Granit, terre, 800 x 300 x 63 cm

Commande du Syndicat mixte "le Lac de Vassivière" (propriété du Syndicat mixte "le Lac de Vassivière") en 1985

Né en 1952 en France, Jean-Luc Vilmouth vit et travaille à Paris en France.

Lorsqu’il définit son activité artistique, Jean-Luc Vilmouth la qualifie d’« augmentation ». Ce qui l’intéresse dans ce concept « ce n’est pas de chercher une nouvelle arithmétique des objets mais de provoquer à partir de l’objet une augmentation : le même et un autre en même temps ». Cette augmentation est une transformation qui confère une portée et une importance à l’objet qui au départ n’est qu’un ready-made.

Pour Jean-Luc Vilmouth, l’objet le plus banal, le plus quotidien est un objet d’investigation. Un objet usuel comme le marteau, ôté de son contexte et placé dans une situation inhabituelle entraîne une perception autre, une lecture différente de lui-même. La vision de cet outil nous apparaît alors d’une « inquiétante étrangeté ». C’est à ces déplacements, provoquant des « glissements de sens » que s’attache le travail de Vilmouth. En 1979, Vilmouth avait déjà montré un marteau qui semblait n’avoir servi qu’à creuser la cavité dans laquelle il reposait, inutile ; la cause se résorbait dans son effet, le marteau s’offrait sans maître.

Sur l’île de Vassivière, il a choisi de présenter un marteau de plus de sept mètres de long et trois mètres de large, couché sous les frondaisons. La tête est composée de trois blocs de granit, quant au manche, il est formé par un renflement du sol qui, à l’image du champ environnant, se trouve planté d’herbes. Dans Marteau sans maître, Jean-Luc Vilmouth se limite à une intervention très simple qui conserve l’identité de l’objet tout en suggérant une autre approche de celui-ci. Cette tension entre identité et altérité, il la matérialise au travers de deux moyens : l’augmentation mimétique du modèle et la décontextualisation de celui-ci (qui consiste à le disposer en pleine verdure sur l’île de Vassivière). Ces deux processus menés conjointement nous amènent à nous ouvrir à toutes les possibilités perceptives et sensorielles qu’une telle pièce peut susciter. Au travers de cette installation, l’artiste explore clairement le schéma bipolaire modèle-copie, leur ressemblance, leur dissemblance et s’interroge finalement sur la perception que peuvent susciter de tels transferts. Détourné, augmenté, présenté, le marteau acquiert plus de sens que son utilisation fonctionnelle initiale.

L'entrée du labyrinthe de Pan ?


Île de Vassivière.

Vers la sérénité


Île de Vassivière.