jeudi 23 décembre 2010

Patti Smith - Horses & Hey Joe

Combien de fois je me suis tordue le cou à me déchainer sur ces morceaux,et le dernier interprété par toi,  Patti, je t'aime. Ma kiro praticienne, un peu moins mais pas grave....

lundi 20 décembre 2010

Danse, crie, bouffe, baise, T'es l'eau, le feu, le vent, la braise...

Toute mon enfance avec Lou Patrice, dans la 2 chevaux direction la Rulotte ou il passait du Thiéfaine, rebelle, et re belle...

Serge Reggiani -Le Petit Garçon je l'a dédie pour l'amour de ma vie....

La Peur avec un grand P.

Récemment, j'ai fini de lire ce magnifique livre de Gabriel Chevallier : "La Peur"
La vie de cet homme confronté à ses 19 ans en pleine jeunesse, où sa vie aurait dû être amour, joie, bonheur, voyage, s'est retrouvé prit dans la tourmente de la guerre de 14/18. Avec toutes ces absurdités comme toutes les guerres, où les bureaucrates et les gradés établissent des stratégies que seuls les soldats paient à leurs dépends. L'angoisse des tranchées, tombes ouvertes et prêtent à se refermer par un obus de l'ennemi ou tout simplement de leur propre bataillon qui ajustaient les tirs.
Confronté à la mort en permanence, qui devient à la fois, leur maitresse, leur amie, leur confidente, celle sur qui parfois, ils souhaitent la voir et l'effleurent à peine, par des projections de leurs camarades qui l'ont embrassé.
Ces champs aux couleurs pastels de bleus, de gris, de leurs compagnons d'armes étendus à jamais, dans ces immensités de terre à jamais stériles car trop imbibées du sang des hommes, elle en remplit ses veines de ses ames perdues inutilement.
Et tout ces civils, ces parents non contents que leurs fils ne reviennent que soldat, qu'ils occultent et se résignent à croire que le combat est utile pour la patrie, pour la liberté, la leur, surtout la leur.... leurs habitudes qui ne les dérangent pas, alors que leurs propres enfants vivent un cauchemar, sont sans cesse confrontés entre le désir de déserter, de quitter une guerre qui n'est pas la leur, de souhaiter que le prochain obus ne soient pas pour eux mais pour leurs voisins, leurs camarades de combat et deux mondes les séparent...
Je ne vais pas vous raconter ce livre magnifique mais j'espère que vous aurez envie d'y passer un moment à le découvrir.
J'ai apprécié le témoignage de cet homme qui vaut cent fois plus que les blablas de tous ces historiens de pacotille qui ne l'ont pas vécu.
Cela m'a rappelé  mon arrière grand-mère, qui me disait étant petite et cela m'est restée toujours en mémoire : " Si tu as un fils, ne l'oblige jamais à aller à la guerre ".
Un jour, j'ai demandé à ma mère, pourquoi elle disait cela ? Elle m'a raconté ce pourquoi.
Elle avait un fils, mon grand oncle, qui lui aussi en pleine jeunesse, dù partir au massacre, pour "la patrie". Il avait trois jours de permission et était revenu se blottir dans la chaleur du foyer, dans le coeur de sa mère. Il ne voulait plus repartir sur le front, c'était trop horrible disait-il. Mais mon arrière grand-mère l'a persuadé d'y retourner car sinon il serait considéré comme déserteur et la sentence était pire, non seulement il risquait le peloton d'exécution mais toute sa vie et je crois que cela aussi était à l'époque important, il aurait été considéré comme un traître à "la patrie", un fils qui deserte, qui fuit la guerre est un lache, la honte pour toute une génération.
Mon grand oncle est reparti à la guerre. Deux jours après, mon arrière grand-mère recevait un télégramme....
Je suis vraiment impressionné par le récit de Gabriel Chevallier,  car je comprends pourquoi mon grand oncle ne voulait plus y retourner et pourquoi mon arrière grand-mère ne s'en ait jamais remise. Envoyer son enfant à la guerre, c'est l'envoyer à la mort, et le protéger pour ne pas qu'il y aille, à l'époque c'était aussi l'envoyer à la mort, elle n'avait pas le choix et mon grand oncle non plus... Quel affreux dilemme !
Je serai dans l'idée de faire lire cet ouvrage, aux élèves de seconde même de troisième, ils y trouveraient plus de liens avec leurs familles que la lettre de Guy Môquet mais cela n'engage que moi...

vendredi 17 décembre 2010

Bonnes fêtes

En cette période de festivitées gargantuesques à tout les niveaux, je pensais à un film  que j'apprécie beaucoup avec Ugo Tognazi, Marcello Mastroianni, Michel Piccoli, Philippe Noiret et bien sur la magnifique Andréa férreol
Vous pouvez facilement retrouver des extrait sur you tube et pourquoi pas offrir le dvd pour Noël.
Le suicide à la bouffe, je trouve cela génial même pour les anorexiques....
Allez tous ensembles, bouffons, bouffons...

Croustillant et doré à souhait...

Je le  partage avec vous !

Danse....

Effet d'optique...

Dansons la capucine....

j'ai envie de vous offrir du soleil et de la gaieté dans cette période froide et grisâtre. Les capucines, elles sont tellement attirantes, que l'on peut manger leurs fleurs ou leurs graines confites comme les câpres.

mardi 14 décembre 2010

Léo Ferré - C'est extra (1969)

"Emmenez-moi" Charles AZNAVOUR

Emmenez moi...

Le gland

Le gland dans toute sa splendeur !
A 10 jours de Noël, j'ai envie de parler d'amour, de tolérance, de respect les uns vis à vis des autres, nous humains.
Je n'aime pas employé ce mot "humain", car pour moi cela implique homme et la femme ne se sent pas forcément concernée. Pourtant humain, ressemble plus à une fratrie dont nous femelle nous faisons partie. J'ai plus de respect pour l'homme, moi en tant que femme, car je pense que l'homme est tendre, respectueux, amoureux droit et juste, et tolérant. La femme aurait tendance à juger les hommes par rapport à ses relations sexuelles et ses sentiments, elle ne sait pas dissocier l'amour et "l'amour". Les hommes ont aussi ce côté féminin mais les femmes ne veulent pas le percevoir car cela leur fait peur et pourtant c'est si beau un homme qui parle et qui voit comme une femme sans être cataloguer comme un féministe.
Les hommes sont tendres, beaux, généreux, attentifs, tolérants, et je ne dis pas cela pour flatter ces messieurs, c'est parce que je le pense, ils sont plus droits et plus clairs dans leurs têtes que nous toutes réunies. Et si parfois, il y'a un pétage de plomb chez eux, c'est toujours parce qu'une femme les a traumatisé et que l'amour est plus fort que tout.
Je ne fais pas un amalgame de tout mais j'aime discerner certains a priori qui parfois me dérange, et je dis haut et fort  que messieurs, je vous aime comme vous êtes, fort, beau, étrange, repoussant, macho, beauf, etc... le respect est toujours là ; la seule chose que je n'aime pas chez vous c'est votre pouvoir de supériorité qui peut engendrer des guerres, des haines, des phobies, des provocations malsaines et dérangeantes. Votre connerie à l'état pure ! Mais cela reste encore à discuter...

lundi 13 décembre 2010

Depuis Août, je n'ai plus pris le temps de m'occuper de mon blog en ajoutant quelques photos de ma création et de mon inspiration. C'est surtout l'inspiration qui n'y est plus. Je n'ai plus d'accroche, d'instant à marquer sur la pellicule, celle-ci serait plutôt en négatif en ce moment. La pellicule est noire comme mon humeur depuis quelques mois. La vie est triste, morbide, c'est un cloaque qui flotte au dessus de mon esprit. Si tout m'était indifférent, je le prendrai peut être sous un autre angle, mais le monde est noir et horrible. Non pas le monde, l'être humain, qui ne sait que montrer sa haine, sa violence, pire que des loups.
Le monde est une banque mondiale, ou l'argent prime, le paraître...quitte à crever la bouche ouverte, pourvu que nous ayons les dernières technologies, la dernière bagnole, le dernier crédit à la mode...le dernier des cons ! Ouais ! L'être humain est non pas le dernier mais le premier des cons sur l'échelle de la vie.
Alors je vais tant bien que mal reprendre mon appareil, et repartir me réfugier dans ma nature, à l'affût de quelques clichés qui apaiseront mon esprit si je peux prétendre encore à cela. Pour l'instant j'affiche quelques clichés que j'avais fais quelques mois auparavant en attendant des jours meilleurs...

Serge Reggiani - Sarah (Live)

Magnifique !

MA SOLITUDE - SERGE REGGIANI

Non je ne suis jamais seule avec ma solitude...

Les Loups - Serge Régiani

J'adore Serge Réggiani et je suis heureuse de partager quelques interprétations de ce chanteur extraordinaire et vrai.

Et oui...


L'état du monde en général...

Les vignobles de Bergerac


Bienvenue !

Nounours y croit encore...

T'as raison Nounours ! Restons optimiste...

Grave Bordeaux...


Et c'est même affiché, ils n'ont peur de rien !

La nature bout...


Et ça ne date pas d'hier !

Mon bol d'air


J'adore y flâner, lorsque la saison des champignons est passée, qu'elle n'intéresse plus personne... J'aime son silence, son manteau de feuille qui recouvre la terre pour mieux la réchauffer, ses volutes de feuilles qui s'envolent et tourbillonnent et papillonnent pour offrir une danse de l'hibernation à chaque habitant des lieux.

Contraste


Je me sens comme elle, pas à ma place....

Le feu à l'horizon

Des vagues de cotons


Pluie et soleil se cachent et jouent au chifoumi, qui gagnera ?

Ciel d'automne

J'adore l'automne, c'est le printemps de l'hiver avec ses contrastes éclatants....